J’ai toujours apprécié lire Pascal Décaillet. Ses analyses, fort bien écrites, sont piquantes et pertinentes. Bref, un vrai régal pour tout amoureux de la langue française et de la politique.
Dans sa dernière chronique, il réprouve le combat du PLR contre l’UDC, combat particulièrement virulent dans le canton de Vaud. Là-bas, l’alliance entre les deux partis de droite suscite de nombreuses réprobations, surtout au sein du PLR.
Pascal Décaillet a raison. L’UDC, malgré nos divergences de point de vue dans certains domaines – immigration, accord bilatéraux – malgré leur façon de communiquer basée sur l’émotion plutôt que la raison, est un parti proche du PLR. Certain libéraux-radicaux, plutôt que de dépenser tant d’énergie à vilipender l’UDC, feraient mieux de se battre pour leurs électeurs. C’est en proposant des idées concrètes, en agissant qu’on se démarque. Quitte à déranger les élus en place, quitte à se faire des ennemis.
Pascal Décaillet a raison. L’UDC, malgré nos divergences de point de vue dans certains domaines – immigration, accord bilatéraux – malgré leur façon de communiquer basée sur l’émotion plutôt que la raison, est un parti proche du PLR. Certain libéraux-radicaux, plutôt que de dépenser tant d’énergie à vilipender l’UDC, feraient mieux de se battre pour leurs électeurs. C’est en proposant des idées concrètes, en agissant qu’on se démarque. Quitte à déranger les élus en place, quitte à se faire des ennemis.
La critique est permise, en politique. Au moins contre les narcissiques, contre les carriéristes, contre ceux qui méprisent l’action populaire, contre ceux qui ont peur d’agir. Mais la critique gratuite et récurrente contre un parti du même bord n’apporte rien. Enfin, si, les électeurs se demandent où va le PLR.
Quant à l'éloge faite à Philippe Nantermod, éventuel sauveur du PLR, elle est justifiée. On peut ne pas être d'accord avec ses idées mais au moins, il en a, et il se bat pour elles. C'est tout à son honneur.
Quant à l'éloge faite à Philippe Nantermod, éventuel sauveur du PLR, elle est justifiée. On peut ne pas être d'accord avec ses idées mais au moins, il en a, et il se bat pour elles. C'est tout à son honneur.