Pour la seconde fois, j'ai la possibilité de présenter ma candidature aux élections fédérales. Comme en 2011, c'est sur une belle liste que j'aurai l'occasion, durant toute cette campagne, de défendre les idées de la jeunesse libérale-radicale fribourgeoise.
Avec Rebecca Huber (Singine), Sandy Maillard (Gruyère), Felix Bieri (Singine), Yannick Gigandet (Gruyère), Fabien Winkelmann (Lac) et Colin Noël (Sarine) nous allons parcourir le canton, à la rencontre des citoyens. Une campagne au Conseil national est une belle expérience, ce sera sans doute la dernière que je vivrai, sur une liste "jeunes" du moins !
L'objectif ? Faire aussi bien qu'en 2011. Cette année-là, la liste avait excellé dans la Glâne (2,1%) en Veveyse (1,7%) et en Gruyère (1,6%). Au niveau cantonal, avec 1,1% des suffrages, la liste JLR a battu l'ensemble des listes "jeunes" lancées par la gauche. Pour cet automne, le défi est de taille, au vu du nombre de listes annoncées. C'est une défi que nous relèverons.
Retrouvez ci-dessous les articles parus à ce sujet dans la presse locale.
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| Les Jeunes libéraux-radicaux en lice (de g. à dr.): Yannick Gigandet, Sandy Maillard, Fabian Winkelmann, Rebecca Huber, Felix Bieri, Colin Noël et Savio Michellod. © Vincent Murith |
La Liberté, 1er mai 2015
Patrick Pugin
En 2011, les Jeunes libéraux-radicaux fribourgeois (JLRF) avaient signé un bon résultat: avec 1,1% des suffrages, leurs candidats au Conseil national avaient remporté la bataille de la relève. Quatre ans plus tard, les JLRF gardent cette même ambition: conserver leur titre de meilleure liste «jeunes» du canton, a exposé hier devant la presse leur président, Yannick Gigandet.
Pour y parvenir, les JLRF misent sur une équipe d’«amis» qui partagent la vision d’une Suisse «où l’individu est au centre des préoccupations politiques» et «où l’Etat est au service des citoyens et pas le contraire». Leurs préoccupations principales: assurances sociales, formation, mobilité, ouverture au monde, économie, justice, sécurité, intégration…
Leur campagne - ils disposent d’un budget de 30 000 francs -, c’est dans la rue que les JLRF la mèneront. «Nous voulons discuter, expliquer, écouter… Créer le dialogue avec les citoyens», indique Yannick Gigandet. Cette proximité leur permettra de réunir les 300 signatures nécessaires à la transmission au Grand Conseil de leur motion populaire demandant au Conseil d’Etat de proposer une modification de la loi sur les bourses et les prêts d’étude, afin que le principe du remboursement et de sa proportion soit fixé sur la base de la capacité économique du bénéficiaire une fois les études terminées.
«Le Parti libéral-radical fribourgeois (PLRF) a besoin de vous. Pas seulement pour les suffrages que vous lui apportez et l’image dynamique que vous véhiculez. Mais parce que notre avenir, c’est vous», a lancé Antoinette de Weck. La vice-présidente du PLRF - saluant leur récente prise de position contre l’initiative de l’UDC hostile au Centre islam et société - est «fière» de ces jeunes pousses qui font preuve de «maturité» et qui affichent un «grand sens des responsabilités».
Les candidats
Conseil national
:
- Rebecca Huber, 20 ans, Guin, étudiante en droit.
- Sandy Maillard, 22 ans, Vuadens, étudiante en lettres et enseignante au CO.
- Felix Bieri, 21 ans, Schmitten, étudiant en économie.
- Colin Noël, 23 ans, Rossens, conseiller en assurances.
- Fabian Winkelmann, 20 ans, Morat, étudiant au collège, vice-président du Conseil des jeunes.
- Savio Michellod, 30 ans, Granges, juriste, conseiller communal.
- Yannick Gigandet, 22 ans, Bulle, étudiant en économie, président des JLRF.
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Die Junge FDP will ihren ersten Rang verteidigen
Freiburger Nachrichten, 1. Mai 2015
Urs Haenni
Mit sieben Kandidatinnen und Kandidaten treten die Jungliberalen des Kantons Freiburg zu den Nationalratswahlen vom Herbst dieses Jahres an. Vor vier Jahren waren sie die stärkste Jungpartei des Kantons, und dieses Ziel haben sie sich auch für 2015 wieder gesteckt.
«Wir sind sieben Freunde, mehr noch, als wir sieben Kandidaten für den Nationalrat sind. Nicht so wie andere Parteien, wo sich die Kandidaten vielleicht nicht einmal kennen.»
Dies sagte Sandy Maillard, eine von sieben Anwärtern auf der Liste der Jungen FDP Freiburg für einen Nationalratssitz. Die Jungpartei hat gestern an einer Pressekonferenz ihre Liste vorgestellt und gab sich kämpferisch. «Wir wollen die beste Liste im Kanton bleiben», sagte Yannick Gigandet, Präsident der Jungliberalen und selber ebenfalls Kandidat. 2011 erreichte die junge Liste 1,1 Prozent aller Stimmen. «Es wird schwierig sein, das wieder zu erreichen, sind doch dieses Jahr sehr viele Kandidaten dabei», so Gigandet.
Die Kampagne der Jungen FDP beginnt eigentlich schon heute Freitag mit einem Auftritt bei der Aktion der Mutterpartei zum 1. Mai, an der allen Angestellten gedankt werden soll. Danach suchen die Jungliberalen vor allem den Kontakt zum Volk. Die Kasse ist mit 30 000 Franken gut gefüllt.
Deutschfreiburg ist dabei
Die Kandidatenliste umfasst folgende Namen:
- Rebecca Huber (Düdingen) 20-jährig, Jus-Studentin;
- Sandy Maillard (Vuadens) 22-jährig, Sekundarlehrerstudentin;
- Felix Bieri (Schmitten) 21-jährig, Student an der HSG St. Gallen;
- Colin Noël (Rossens) 23-jährig, Versicherungsberater;
- Fabian Winkelmann (Murten) 20-jährig, Gymnasiast;
- Savio Michellod (Granges) 30-jährig, Jurist;
- Yannick Gigandet (Bulle) 21-jährig, Wirtschaftsstudent.
Die sieben Anwärter auf den Sitz in Bern präsentierten mit ihrer Kandidatur auch ihre wichtigsten Themen. Dazu gehört die zukünftige Regelung der Sozialversicherungen, die Qualität der Bildung auf al- len Stufen vom Primar- bis zum Hochschulniveau, die Gewährleistung der Mobilität unter anderem durch eine Erleichterung des Zugangs zum Fahrzeugausweis, eine offene Schweiz auf dem bilateralen Weg, die Förderung von Innovation bei gleichzeitigem Abbau von Bürokratie, die Gewährleistung der öffentlichen Sicherheit mit einer Milizarmee mit klaren Aufgaben, die Freiheit des Individuums und die Förderung der Zweisprachigkeit.
Motion lanciert
Die Junge FDP lanciert zur Wahlkampagne auch eine Motion zur Änderung des Stipendienwesens. Dieses solle gerechter und solidarischer sein, ohne Steuererhöhung oder Einsparungen. Das Rezept der Jungen FDP: Wer einmal ein Stipendium erhalten hat, soll es später in einen Fonds zurückzahlen.